-
La peur au ventre, j’avance
La peur au ventre, je regarde autour de moi Avec cette peur au ventre, je me demande : Combien de temps durera cette crise? Est-ce que la vie reprendra vraiment son cours normal? Est-ce que cette boule qui est omniprésente dans mon ventre finira par se dissoudre? Depuis le début, j’ai les émotions en yo-yo. Je peux passer de relaxe à paniquée en 3 secondes top chrono. Je sais que je ne vis pas de réel danger, car je suis les conseils à la lettre et qu’en effet, le virus ne peut pas venir cogner à ma porte. Mais si? Les scénarios dignes Hollywood pop dans mon cerveau et m’amène loin,…
-
J’ai la chienne, comprends-tu?
J’ai la chienne, comprends-tu ? J’ai la chienne ! TSE, celle qui te paralyse ? TSE celle qui fait que tu repousses même tes rêves les plus fous ? Celle qui t’amène à imaginer le pire ? Celle-là. La connais-tu ? L’as-tu déjà rencontré ? On est entre nous, je vais pas de raconter des histoires. Depuis le début de l’année, je suis ailleurs. Dans mes pensées, dans ma tête. Je réfléchis… beaucoup trop. Pourquoi ? Parce que j’ai peur de recommencer à écrire. Pourtant, c’est ce que je fais de mieux ! Pourquoi toutes ces appréhensions ? Est-ce que la chienne que j’ai guide mes pas? Ce que les autres pensent de moi m’affecte de moins en moins. Mais…
-
La peur m’envahit encore, souvent.
La peur m’envahit encore, souvent. Oui, j’ai encore la peur au ventre. Pis souvent à part ça. Mais la différence avec la fille d’avant, c’est que je contrôle certaines peurs. Mais ce serait te mentir si je te disais que je les contrôle toutes. Et celles qui me restent sont disons… handicapantes. Les phobies, c’est ce que j’imagine. La peur c’est un concept flou. La peur, c’est la boule dans mon estomac qui se forme jusqu’au point de m’étouffer. La peur est CHIANTE ! Qu’elles sont ces fameuses peurs Alex ? La peur de conduire sur l’autoroute. J’ai mon permis de conduire depuis 11 ans. En 2017, j’ai fait une grosse…
-
La dépression de l’auteur, kessé ça ?
La dépression de l’auteur, kessé ça ? Ben oui, kessé ça la dépression de l’auteur ? Laisse-moi te parler de ce que je vis ces temps-ci. Tu me diras : Alex ! On est habitué à te lire sur tes états d’âme ! C’est franchement pas nouveau ! Bon OK, j’en conviens. Mais ce sujet-là, j’en ai jamais parlé, car honnêtement cette fois-ci, je suis ben perplexe de cette émotion, de cet état. Hier, j’ai parlé à une amie auteure, de mon sentiment de vide. De comment, je suis incapable de lâcher-prise sur mon roman. Amie ! Je suis déprimée ! Les médias ne s’intéressent pas à mon roman ! J’ai pourtant fait tout ce que je pouvais ! Je…
-
Quand la créativité s’éteint
Quand la créativité s’éteint. Quand la créativité s’éteint, c’est signe que mon anxiété prend toute la place. Que chaque partiel d’espace est occupé par le négatif. Que l’oiseau que je laisse si souvent s’envoler, reste emprisonné. Quand la créativité s’éteint, je me sens faiblir. Comme s’il me manquait de carburant. Comme la noirceur qui devient si lourde. Comme une dépression qui plane… La créativité, cette essence si nécessaire. Le cerveau d’un créatif est complexe. Il bouillonne d’idées à réaliser, de paroles à prononcer, de rêves à réaliser. Le créatif à besoin de créer, comme un accro à l’héroïne a besoin de son élixir. C’est viscéral. Que ce soit par la…
-
Ah, si je pouvais tout te dire maman…
Ah, si je pouvais tout te dire maman… Je te raconterais mes joies, mes bonheurs, mes succès, mes grandes fiertés. Mes petites aussi. Et tu t’en souviendrais. Tu te souviendrais de ce que je fais comme travail, de ce qui m’anime, de ce qui me fait vibrer. Tu saurais qui je suis vraiment. Si je pouvais tout de dire maman, Tu m’écouterais pour vrai, avec ton cœur, sans m’interrompre à la première occasion pour ramener la conversation vers toi. Vers tes drames, tes bobos, tes petites et tes grosses misères. Je te raconterais mes rêves, et mes dons maman. Je te raconterais le bien que je fais aux gens. Je…
-
Il y a des jours où…
Il y a des jours où… Je me trouve ben poche. TSE poche comme dans « je pleure de découragement pis d’anxiété » ? Poche comme dans « je me lève la larme à l’œil et le cœur lourd pour aucune raison apparente » ? Tellement poche que je ne sais même pas comment t’expliquer ce qui se passe dans ma tête assez clairement pour que tu comprennes. Je suis la caricature de la fille anxieuse. Je suis en boule, je pleure et je me demande où ma vie s’en va. Raide de même. Il y a des jours où… Je ne sais plus où donner de la tête. Je veux tellement qu’on m’aime que…
-
Quand la peur du dentiste te paralyse
Quand t’aimes mieux avoir mal que d’aller voir un dentiste. Le dentiste m’a toujours fait peur. Honnêtement, je ne sais pas pourquoi. Mais clairement, je sais que je déteste me faire jouer dans la bouche. TSE, c’est personnel une bouche ! Enfant, cet homme (dans mon cas, c’était un homme à l’air dur) me mettait dans tous mes états. Je ne dormais pas bien la veille de mon rendez-vous et le matin, j’avais mal au ventre. Pourtant à mon souvenir, étant jeune, je n’ai jamais vécu d’expérience si négative. Mais d’où cela peut-il venir ? D’un film ? D’un cauchemar ? Cette crainte m’a suivi, peu importe le dentiste traitant. L’inconfort est resté présent…
-
L’émotion est comme un volcan qui explose
L’émotion est comme un volcan. Ma gestion d’émotions est pourrie. Mes pensées défilent à une vitesse de malade. Dès que l’émotion monte, c’est terminé, c’est trop tard. Mon cœur s’emballe, les larmes montent et je ne sais littéralement plus quoi faire. Je sais, je sais, je dois respirer. Mais bien honnêtement, y’a des jours où c’est carrément impossible. L’émotion me gère et non l’inverse. Comme tu le sais, j’ai fait une méga crise de panique en voiture l’an passé. Depuis ce temps, ma relation avec ce transport est, disons… Compliquée. Je vis dans une ville sans transport en commun. Tu dois absolument maîtriser l’art de conduire (Bon un art, ça dépend pour qui ! Y’en a qui conduise comme Picasso peint… Bref). Ce qui ne me posait aucun problème…
-
Peur de l’échec à 7 ans
Vous connaissez surement un enfant qui a des attentes très élevées envers lui-même. Si ce n’est pas votre propre enfant, vous avez possiblement observé que c’était le cas pour son ami ou son collègue de classe, pour votre neveu, votre nièce ou votre voisin.